Première en tant que figurante sur "La Clinique de l'Amour"

Si vous venez de visionner le court-métrage ci-dessus, certainement vous changerez d'avis quant à la synopsis du film auquel j'ai participé aujourd'hui en tant que figurante ^^ Et oui ! "La Clinique de l'Amour" est bien une comédie complètement parodique des séries sur le milieu hospitalier.

Mais entre nous, quand M.H. m'a appelée hier soir, juste avant la session irlandaise dédiée à la fête de la musique à l'Irish Pub, les seules infos que j'avais eues étaient : c'est de la figuration pour un long métrage, cela dure toute la journée, payé X€, et il faut prévoir une tenue chic de mariage.
Quand j'ai lu le mail de description de la journée avec quelques détails supplémentaires à 2h du mat' après la session, j'ai appris : le lieu exact de RDV à Metz, les coloris de la tenue, et surtout le titre. Je vous avoue qu'au début cela m'a un peu refroidi. Je ne savais aucunement le sujet du film et je pensais sincèrement que c'était un genre de feuilleton moisi qui passe sur TF1.

Mais au fur et à mesure de la journée, j'en ai appris plus. Mais vraiment plus, et pas seulement sur le sujet du film, mais sur tout le déroulement (ou presque) d'un tournage, et ça franchement, c'était le pied !


Horaire d'arrivée : 8h. On se change, se maquille vite fait et on attend. Oui, car c'est vraiment ce que fait le plus souvent un figurant : il attend qu'on l'appelle, qu'on lui dise ce qu'il fasse. Mais ce temps d'attente lui permet d'apprendre à connaître les autres qui attendent aussi. Certains sont tout aussi débutants que vous, d'autres sont des passionnés, des "accrocs". Étonnant, d'ailleurs ^^ Je trouve cela drôle que certains aiment cette ambiance particulière. Il faudrait que je multiplie mon expérience pour pouvoir comprendre réellement leur point de vue.
Durant le temps d'attente, donc, on fait des rencontres vraiment chouettes, on grignotte, et on s'amuse comme on peut (comme chanter en canon dans l'église devant laquelle on tournait la séquence du mariage par exemple). On a eu la chance aussi de discuter avec quelques acteurs. D'ailleurs, tous ceux de ce tournage (Artus de Penguern, Bruno Salomone, Helena Noguerra, Natacha Lindinger, Dominique Lavanant et quelques autres) étaient franchement sympathiques. Ils blaguaient pour la plupart, riaient franchement, étaient accessibles, n'avaient pas la grosse tête. Quant à l'équipe technique, idem, vraiment gentille. Nous n'étions pas considérés comme du bétail comme cela peut parfois arriver apparemment.


En tout cas, j'ai été éblouie par tout le matos et l'organisation qu'il faut pour tourner 5 minutes de film. J'ai pu voir comment se déroulaient les scènes, les prises de son en dehors des prises de vue. Et j'ai appris à rire sans lâcher un mot (oui, un groupe de figurants peut paraître comme un attroupement organisé de muets.) C'était fort amusant de simuler des conversations sans dire mot, et pour les prises de son, inventer carrément des conversations sans queue ni tête qui serviront de bruit d'ambiance pour la séquence du vin d'honneur.

Nous avons fini vers 20h. Il est clair que pour 12h sur place on a été sous-payé, mais au moins je suis sûre que je ferai à nouveau de la figuration, d'une part parce que maintenant j'ai quelques contacts, mais aussi parce que j'ai été intégrée au réseau.

En somme une chouette expérience. Je peux davantage apprécier le travail de Artus De Penguern dont j'avais découvert le film "Grégoire Moulin contre l'Humanité" qui m'avait déjà bien fait rire (et que je vous conseille aussi de visionner !).
En ressortant de là, il me semble que je peux faire l'analogie suivante : le théâtre est aux concerts live ce que le cinéma est à l'enregistrement studio. Dans le premier cas, on a un spectacle avec une performance face à un public, qui ne peut être parfaite (ou que rarement), dans le second on peaufine, on retravaille jusqu'à obtenir la perfection maximale, mais cela peut être plus pénible que la performance "one shot".

Synopsis du film : Un romancier veut tuer Bernard Pivot, parce qu'il n'a pas apprécié l'immonde soap opéra hospitalier qu'il a écrit, narrant l'histoire suivante : John aime Priscilla qui est mariée à Michaël, le directeur de la clinique. Ce film est l'adaptation d'un court métrage intitulé "La polyclinique de l'amour", du même auteur/réalisateur, en deux parties (d'abord la parodie tourné en noir et blanc de façon très maîtrisée, puis celle de l'écrivain également interprété par Artus De Penguern, essayant de refourguer son histoire à ... Bernard Pivot).

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Reportage France 3 Lorraine (dès 2'56)

La première avec Congo Square

Premier live avec le dernier groupe que j'ai intégré en mars dernier. C'était à Hussigny à l'occasion de la fête de la musique. La météo n'étant pas favorable, il nous a fallu jouer dans la salle des fêtes, impliquant certainement une fréquentation moindre du public. Néanmoins, le son était bon, la scène vraiment chouette et cela nous a permis de "nous faire la main" sur 9 titres dont 7 compos.






Notre musique fut bien reçue et nous avons été complimentés. Tout n'était pas parfait, mais pour une première, cela était vraiment bien. J'ai encore du boulot à fournir quant à la mémorisation des chansons, mais cela vient tout doucement. Il y avait une bonne alchimie sur scène, mais avec le temps, cela se consolidera encore plus. Des vidéos et photos vont bientôt être publiées d'ailleurs ! J'ai hâte :)



Prochaine étape pour nous : le studio. Et oui, car les titres de la démo que vous pouvez écouter sur nos sites internet sont des vieux enregistrements avec une partie des anciens musiciens et l'ancien chanteur, ce qui n'est plus représentatif avec le rendu actuel !

___Plus de photos ici___

"Bananarama" : feedback de l'unique représentation

Les trois "automates femelles" : Ondine, Sowana et Alicia.

Voilà, ça, c'est fait. Après un an de travail, la comédie-performance écrite et mise en scène par François Camoes a été jouée au Gobelin Vapeur hier soir. Ceux qui ont pu voir le spectacle ont pu comprendre le sens véritable de "performance".



Et oui, un texte décalé, pas mal d'improvisations et beaucoup de fous rire de la part du public mais aussi des voix off en coulisses (mais ça, vous n'êtes pas censé le savoir...), le tout dans un décor en carton qui se détériorait au fil des répétitions. Le premier mot d'ordre de cette pièce c'est "surtout, ne soyez pas trop prêts pour la représentation". Car pour le montage de la vidéo qui servira à suivre partout l'exposition "Décalage" qui est associé à Bananarama, il fallait beaucoup de spontanéité.
Le texte était écrit, certes, mais les actions pour la plupart, restaient très libres. Vous avez donc pu voir le spectacle joué d'une traite, d'une durée de 40 minutes environ. Mais vous n'avez pas encore aperçu le bêtisier des répétitions ! Lapsus et idées saugrenues suite aux lectures du texte, devraient également vous faire rire. Une chose est sûre, c'est que nous, en répétition, nous avons beaucoup ri. Et on a hâte de voir le résultat !

Synopsis : C'est l'histoire d'un artiste sans nom qui cherche à aimer un automate qui en a un, mais en allant lui déclarer sa flamme, il se retrouve face à trois automates femelles résolument décidés à expérimenter ce qu'est l'amour... et ce, par des moyens non conventionnels.

Les trois représentations physiques des automates. Mais qui sont-elles finalement ? Des automates ou des jeunes femmes qui se rient de l'homme, objet de leur expérience ?













Ondine, embrassant son automate représentatif.












Homme : Bonjour ! Alicia est là ?
Ondine : Elle n'est pas là, mais je peux peut-être lui passer un message ?
Homme : Oui, dites-lui que je l'aime !
(Acte 1 scène 1)










Alicia : Bon alors Ondine, parle-moi de cet homme.
Ondine : Oh il a gâché toutes ses chances, il a oublié de commander des desserts !
(Acte 2 scène 1)







Sowana : Aimer, c'est avant tout considérer l'autre comme une œuvre d'Art.
Alicia : Ah bon, alors tu acceptes d'être considérée comme un objet ?
Sowana : Oui, si le fétichisme de mon conjoint accepte la totalité de mon corps et qu'il l'élève au rang de l'Art.
Ondine : Ah oui, du lard, je mangerais bien du lard !
(Acte 2 scène 1)






Ondine : Faire l'amour, c'est comme manger. Tu cherches un truc à consommer, tu le consommes, et tu en tires du plaisir. D'ailleurs on utilise le même vocabulaire pour l'amour et la gastronomie : les melons, la quetsche, la saucisse, la sauce, les petits pains au lait...
(Acte 2 scène 1)










Sowana : Alors attends un peu... L'amour pour toi passe par un intermédiaire : la nourriture, comme l'Art pour moi. Donc en fait, en aimant Banana, j'aime mon intermédiaire. Ce n'est pas Banana que je dois aimer, mais celui que je peux aimer à travers lui.
(Acte 2 scène 3)


















L'Homme : J'ai l'intention d'aller rejoindre Alicia. C'est pour cela que je suis venu, j'ai reçu une lettre d'elle !
Ondine : Une lettre d'Alicia ? Je n'y crois pas trop ! Elle ne sait pas écrire. La seule qui sache écrire ici, c'est Sowana.
L'Homme : Sowana ?
Ondine : C'est une artiste... Elle est bien aussi...
(Acte 3 scène 1)








L'Homme : Moi qui me demandais pourquoi Alicia m'écrivait et surtout pourquoi elle me demandait d'amener un chevalet...
Ondine : Ah, ça, c'est pour Banana.
L'Homme : Comment connaissez-vous Banana ? On me l'a volé lors de sa première exposition...
(Acte 3 scène 1)





L'Homme : Alors, là, au moins, je sais pourquoi je suis là. Je vous aime Alicia !
Alicia : Encore !
L'Homme : Toujours !
Alicia : Non, je veux dire, vous êtes encore là !
L'Homme : Je vous suivrai partout, tant que votre cœur ne sera pas mien.
Alicia : Si je vous donne mon cœur, je meurs, triple andouille !
(Acte 4 scène 3)




Salut final : Merci à Hadaly Sceno pour la conception du décor, merci à François Camoes notre metteur en scène, merci au Gobelin Vapeur pour son accueil, merci aux exposants (Claire Munier, Kévin Wandrol, Morgane Miltgen et François Camoes), merci à Alex Miltgen pour le buffet et merci au public pour sa participation !

Avec :
l'Homme : Fabien Bertrand
Ondine la gloutonne : Rebecca Noël
Sowana l'artiste : Emeline Thierion
Alicia la naturelle : Morgane Miltgen

Les médias en parlent :
La Plume Culturelle, article rédigé par Marion Weber le 17 juin 2011

C'était les prémisses de ma ma reprise du théâtre après quatre ans d'arrêt environ. Quelques projets ont été proposés et n'attendent que de voir le jour...

Un nouveau groupe : Congo Square

Je vois déjà votre réaction : "QUOI ?! Encore un ?!" Et ma réponse : "Bien évidemment !". En fait, depuis que je n'étais plus avec Horizon9, j'avais un manque à combler voyez-vous... Et puis je fonctionne par coup de cœur, et là ça en valait la peine !

Peu de temps après ma rupture avec mon groupe de reprises pop rock, Yann Caroff, guitariste de Patchwork (mon groupe jazz), m'a contactée pour me dire qu'un de ses autres groupes (Congo Square), recherchait une chanteuse. Heu, vous me suivez toujours ? Il m'a envoyé le lien de leur site internet et le style musical ainsi que la formation m'ont tout de suite interpelée. Déjà, nous sommes sept : guitare, basse, batterie, le combo de base, mais aussi un clavier, et une section cuivres composée d'un trombone et d'un saxophone. Le 7è membre, ben c'est moi au chant.

Le style ? On a mis du temps à le définir car au début cela partait un peu dans tous les sens. Antonio, le bassiste et leader du groupe, est allé récemment aux Etats-Unis, il a fait écouter notre son là-bas et il en a résulté ce style : Groovy Funk. Ah si ce sont les Américains qui le disent, on ne va pas contester !

Qu'est-ce que ce groupe a de particulier pour que je m'y intéresse (les coups de cœur, ça peut s'expliquer, si si) ? Déjà la présence de très bons musiciens, tous adorables (ça, ça joue beaucoup). Ensuite, et c'est un argument de poids : c'est un groupe de COMPOS. Beaucoup d'original songs donc, très bien écrites de surcroît en anglais par l'ancien chanteur Pieter Van de Paverd. D'ailleurs, son talent va perdurer dans le groupe, puisque malgré son départ, il continuera à écrire pour Congo Square. Ceci dit intégrer cette formation est aussi un nouveau challenge pour moi puisque je vais devoir faire preuve de beaucoup de charisme. J'ai toujours été en retrait vocalement dans mes groupes (sauf Patchwork, mais l'ambiance intimiste était plutôt rassurante). Là il va falloir que je sois constamment une boule d'énergie. Pas évident non plus de gérer les phases de solos. Qu'est-ce qu'un chanteur fait pendant que les autres jouent et que lui ne chante pas ? Ça aussi ça s'apprend. C'est un peu comme être comédien, il ne faut jamais lâcher son personnage, même si c'est l'autre qui entame une tirade...

Alors là, peut-être que vous vous demandez "Bizarre comme nom. Y'a des congas dans le groupe ?". Ah c'est sûr ça sonne Africain. D'ailleurs le nouveau logo que j'ai confectionné comporte un zèbre multicolore. Mais en réalité le nom a une signification bien particulière qui mérite qu'on s'y attarde : Congo Square en fait était une place de la New Orleans qui n'existe plus aujourd'hui. Il y a environ deux siècles, les esclaves s'y retrouvaient car c'était le seul endroit où ils avaient le droit de jouer leur "musique de sauvages" après la messe. C'est à partir de là que la musique occidentale a commencé à être influencée par la musique nègre et que sont nés le blues, le jazz, le rock... Notre groupe Congo Square fait beaucoup de mélanges de styles dont la racine est fondamentalement le blues et le jazz. Un des slogans du groupe d'ailleurs c'est "Music for your feet", dû au fait que ça groove pas mal.

Cela faisait plusieurs mois déjà qu'on bossait ensemble et si cette nouvelle ne paraît que maintenant c'est parce que cela me permet d'annoncer notre première date de concert, pour la Fête de la Musique, le 19 juin prochain : RDV à 20h15 à Hussigny (54) pour 45 minutes de set.

Je termine cet article pour vous montrer les musiciens aux nationalités presque toutes différentes !

Antonio Tarantino (Italien et Bassiste)
Fabio Andreazza (Français et Batteur)
Andrea Sabato (Italien et Saxophoniste)
Carsten Ullrich (Allemand et Tromboniste)

Gabor Bella (Hongrois et Pianiste)
Yann Caroff (Français et Guitariste)

Vous pouvez nous retrouver sur la toile (anciens fichiers audios de démo) :

Site officiel
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M.A.I. La chasse aux subventions #3

Voilà comme promis des nouvelles de mes avancées suite à mon RDV avec le Pôle Emploi de ce matin. L'équipe a été très sympathique malgré ma situation peu habituelle ^^ Premier point, je ne peux pas toucher le chômage, n'ayant pas fait assez d'heures dans mon agence d'intérim ces dernières années. Je m'en doutais. Je peux donc envoyer ma demande pour le RSA.

Étant inscrite en tant que musicienne au Pôle Emploi, je vais peut-être être en relation avec une personne pouvant m'indiquer concrètement quoi mettre dans mon dossier pour le Conseil Régional (et oui, à ce niveau-là ça traîne car j'ignore quels documents et quel argumentaire utiliser pour avoir un dossier qui d'une part sera lu, et surtout retenu). En ce qui concerne ce dossier, il faut compter en moyenne un mois avant d'avoir une réponse concernant la subvention. Je me fixe l'objectif de le rendre au plus tard à la fin du mois de juillet. D'ici-là j'espère que j'aurai enfin mes réponses ! Je ne désespère pas. Je rappelle juste que si je reçois une subvention de leur part, le montant s'élèvera à 3 050€ et sera crédité sur mon compte à la fin de mon cursus.

Sinon, j'ai toujours ma piste du FASTT que m'avait donnée la secrétaire de l'école. C'est un organisme qui travaille avec les intérimaires. Mais j'ignore véritablement en quoi ils peuvent m'aider. Je sais qu'ils peuvent me proposer un crédit par exemple. Mais s'ils subventionnent, je ne pense pas. Réponse dans la semaine car je viens de récupérer leurs coordonnées...

D'autres possibilités s'offrent encore à moi. En effet, j'ai eu vent de "clubs", sortes de mécènes, dans toute la France, notamment Thionville. Je ne citerais leur nom sur ce blog que s'ils m'aident. Mais en gros, je dois monter un dossier (et oui encore un !) en parlant de mon projet, de son intérêt, et proposer une à plusieurs animations musicales en échange d'une aide financière. L'animation musicale leur servirait lors de leurs journées humanitaires entre autres par exemple. Enfin, voilà en gros le deal. Je vais faire au mieux pour présenter bien les choses et vous communiquerai le résultat de cette demande quand je la recevrai.

J'ai quelques petites pistes encore, mais rien de bien concret pour le moment. Si d'autres nouvelles se présentaient, bien sûr vous serez tenus au courant.

Je termine en remerciant chaleureusement tous les donateurs ! Les dons s'élèvent actuellement à 930€ ! Soit un septième de la somme globale, youhou ! Rien qu'en sachant tout ce que vous avez déjà fait pour moi, cela me motive énormément pour mes recherches, même quand elles sont infructueuses. Je n'ai aucune raison de désespérer. Je sais que je suis soutenue grâce à vous, et je sais que je vais y arriver !

Les derniers donateurs : merci à Philippe Fedoryka, la famille Solinas, Marlène Panetta, Rosanne Anna Consenza, Nicolas Perez et Marilyne Goergen pour leurs dons ♥

♫♫♫♫♫

Si vous souhaitez m'aider,
• vous pouvez m'envoyer un don via paypal à l'adresse mail suivante : reb.noel@gmail.com (cliquez sur le lien ci-dessous)
https://cms.paypal.com/fr/cgi-bin/marketingweb?cmd=_render-content&content_ID=marketing_fr%2Fparticuliers_envoyer_argent&nav=1.3

• ou m'envoyer un chèque à l'adresse suivante :
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20 avenue de Plantières
57070 Metz

• Me faire un virement bancaire sur mon compte :
RIB : Société Générale
Cde banque : 30003
Cde guichet : 02470
N° cpte : 00070271988
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IBAN : Bic : SOGEFRPP
IBAN FR76 3000 3024 7900 0500 0683 110

L'unique représentation de la création-performance "Bananarama"

Le projet Bananarama va enfin voir le jour aux yeux du public le 17 juin prochain au Gobelin Vapeur de Metz.

Exposition de l'association ACT, vernissage et performance scénique, représentation unique de Bananarama le 17 juin 20h30 au Gobelin Vapeur Metz, au sous-sol de la boutique la caverne du Gobelin.
Places limitées. Réservez dès maintenant, par facebook ou mail : assact.infos@gmail.com / hadalysceno@gmail.com
Tarif 15€ qui comprend l'exposition, la performance et le vernissage (avec buffet).
Préventes à 12€ directement au Gobelin Vapeur (34 rue du Grand Wad, Metz)

Bananarama c'est une aventure de deux mois de travail sur la mise en scène, mais c'est un projet qui existe depuis plus d'un an en réalité. François Camoes en est le créateur et le scénographe (c'est lui également qui a conçu et réalisé le décor du spectacle de Mock).

Mais qu'entendons-nous par "performance" ? Cette pièce en 4 actes écrite pour un comédien et trois automates est sans doute la plus farfelue des pièces dans lesquelles j'ai joué jusqu'à présent. (plus c'est fou, plus j'adore) Je représente un automate rose fait de tubes, du nom d'Ondine (hey mais c'est moi et l'Homme sur l'affiche !). Un personnage femme-enfant lubrique et constamment affamé. Je ne pense qu'à manger et à faire l'amour, si ce n'est pas beau ça ?
Mais outre cet aspect, c'est un véritable débat sur l'art qu'il y a tout au long de la pièce entre les quatre personnages qui évoluent dans un décor entièrement réalisé en carton et qui est donc éphémère. Mais c'est aussi ça le sujet de Bananarama : l'amour et l'art semblent eux aussi bien éphémères et quelque part ineffables...

Une pièce comique de 45 minutes qui ne sera jouée qu'une seule fois. Elle sera filmée pour être ré-exploitée lors de cette exposition "Décalage", dans d'autres lieux.

http://www.hadalysceno.com/PresentationProjetDecalage.pdf

C'est le début de la reprise du théâtre pour moi... :)

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Pour ceux qui ne connaissent pas encore le Gobelin Vapeur, c'est un café-jeux créé à l'initiative de Nicolas Chattou-Coumbil il y a environ un an. On y découvre plein de jeux pour une somme dérisoire, des soirées thématiques y sont proposées (Japon, soirées Enquêtes, Steampunk...), divers spectacles y sont aussi proposés (des contes avec Daniel Dubourg, de la magie avec Alexandre Dragonety, des concerts aux styles variés, du théâtre comme avec Bananarama...). C'est un lieu convivial très axé sur le culturel, vous vous doutez bien. Il en faudrait plus des lieux comme ça dans le coin...

http://www.nicolaschattoucoumbil.fr/PresseGobelin.pdf

Rêve Post-Apocalyptique #2

Après plusieurs mois voire années à rêver de catastrophes plus ou moins naturelles dans mes rêves, voilà que je me mets à rêver de situations post-apocalyptiques ! Le précédent était celui de la vie après la mort avec la cité détruite et apaisante.

Aujourd'hui c'est différent. J'ignore ce qu'il s'est passé et cela n'a pas d'importance. Le but de cette première partie de rêve est de survivre. Je suis avec F. et ma tante médium. Les rues sont remplies de gens perdus. Mais nous, nous savons ce qu'il faut faire : nous rassemblons divers objets, nourriture, que nous plaçons dans ma petite voiture. Nous n'avons pas peur. Je retrouve une vieille part de galette dans une boîte en plastique avec deux mouches prisonnières dedans... Finalement, nous nous disons qu'il vaudrait mieux trouver un nouveau lieu où s'installer si possible au bord d'un point d'eau où nous pourrions pêcher. C'est moi qui conduis. Je me sens très proche de F. et je suis rassurée. Peur de rien.

La 2è partie du rêve est une sorte de "à la recherche des Cités Perdues" d'Indiana Jones. Je ne sais pas ce que j'y cherche mais je suis avec d'autres femmes que je connais et toujours avec F. me semble-t-il. Tout est labyrinthique, on nous pose des pièges. On veut nous faire aller à un point précis. Mais on a peur de perdre l'une d'entre nous dans ce dédale. On est dans un endroit entre grotte (murs jaunes) et donjon (murs noirs) aux escaliers interminables. Nous essayons de fuir, de monter, mais des hommes malveillants à la Mad Max nous pourchassent en plus. Dans une des pièces, je vois mon frère sur un ordinateur en train de se créer un logo avec deux dragons, très tribal. Il ne fait pas attention à moi. Et nous fuyons toujours.


Encore une fois très symbolique ce rêve. Et j'ai ma petite idée sur sa signification.

La Vie Après la Mort

Je ne sais pas si au final j'étais moi-même morte ou seulement de passage dans ce monde étrange où chacun semblait heureux. Le rêve encore une fois est confus, beaucoup de détails qui s'entremêlent...

A l'entrée, on accueille un foule d'enfants comme s'ils allaient en colo. Ça braille dans tous les sens. Je sais que parmi tous ces enfants, il y en a un avec des mauvaises intentions, mais quand je revois son visage il est adulte et sur scène en train de jouer de la musique. Étrange. Il y a toute une intrigue avec les enfants, mais je ne m'en souviens pas.

Nous avons droit à une visite guidée des lieux dans la cité en ruines. Imaginez une grande ville comme New York dont les tours sont à moitié détruites, les eaux ont déjà recouvert le sol. J'aperçois au loin depuis mon vaisseau volant à touristes une vieille église magnifique dont la verdure a recouvert une partie. L'architecture est plutôt moderne et les pierres sont jaunes. Le guide nous signale que nous allons passer à côté de la fête foraine. En fait on peut voir tous les manèges dans un building dont la moitié des façades à été arrachée. Grande roue, grand huit, le tout très coloré. Mon voisin me dit qu'il se souvient du cerf-volant rose qui vole encore dans le ciel, et en effet, on le voit qui subit le vent, comme d'autres ballons non dégonflés. Le temps semblent s'être stoppé dans cette ville, mais on n'y ressent aucune angoisse, nostalgie négative ou tristesse. Certains disent qu'on va entièrement engloutir la ville dans les eaux pour y rebâtir une nouvelle cité. Il y a du travail pour tous chez les morts !




Arrivés au terminus, il y a tout un rassemblement de gens. Apparemment on me connaît. Une femme me voit et me salue en me donnant un mauvais prénom ("Véro"). Parmi ces personnes, il y a beaucoup de couples de danseurs qui, au son de la musique, proposent de danser. Ensuite c'est l'heure du bingo. Tout est high-tech avec des hologrammes. Chacun peut récupérer ses boules et les placer devant lui sur sa carte, dans un environnement bleu virtuel. J. est là et a réussi à dégoter des cartes de quoi jouer tous les jeudis.

Juste au moment où je reçois un texto de J. qui me réveille...

Blossom au Festival Celtique du Luxembourg 2011

Pour la 3è année consécutive, Blossom est sur la liste des groupes jouant pour le Festival Celtique du Luxembourg...

Cette année petit changement pour le Festival Celtique du Luxembourg organisé par l'Association Dasson Breizh : vous n'avez pas pu bénéficier d'une journée remplie de musique, mais de deux, les 3 et 4 juin. Plus de groupes invités, et toujours une grosse scène et des celti-cafés dans tout le Grund au coeur de Luxembourg-ville, un cadre idéal pour chacun.

Ayant signé pour les Estivales de Cattenom une nouvelle fois cette année (les 4 et 5 juin), nous n'avons pu jouer que le vendredi soir pour le Festival Celtique du Luxembourg. Pas de grande scène donc cette fois-ci pour nous, mais une bonne place au Scott's Bar. Une sono était déjà sur place. Ne restait qu'à faire les branchements et de jouer.

Petit changement d'horaires afin de favoriser le patron du café, et nous avons enchaîné nos 2h de sets avec présentations en anglais – s'il vous plaît ! - par notre Virginie adorée. Et oui, beaucoup plus d'anglophones dans le bar ce soir-là. Mine de rien, ça a plus la classe comme ça ^^

Bon, c'est sûr, côté son c'était pas l'extra : devoir gérer la sono, les larsens pendant que je joue du bodhràn ou du concertina, ce n'est pas l'idéal. Le son n'était pas agressif au moins !

Certains amis de sessions – je pense surtout à René et Audrey – nous ont fait l'honneur de leur présence (je n'oublie pas non plus le fan club de Vivi !). La soirée fut vraiment agréable, même si nous n'avons pas pu jouer notre session comme prévue. Peut-être que la musique jouée autour d'une table ne fait pas assez de fond sonore pour tout le bar ce qui a déplu au patron des lieux... Je laisse planer le doute, nous ne lui en voulons pas. Le public était attentif et réceptif, la scène surélevée était pratique, et on a eu droit aux pintes de Guinness gratuites, alors quoi demander de plus ?

Merci à l'Association Dasson Breizh pour son accueil et l'organisation de tout le festival,

Merci à Italo Primus du Groupe Sans Gain pour le prêt de tout le matériel de sonorisation,

Merci à nos amis présents,

Merci au patron du Scott's et aux serveurs pour leur gentillesse.

Si vous avez des photos de la soirée, faites-les nous parvenir sur notre boîtes mail : blossom.zik@gmail.com . Merci !

M.A.I. : Le cursus chant en détails

Vous vous demandez bien pourquoi cette formation coûte aussi chère (6 720€, aoutch) ? La réponse en détails ici. Non, ce ne sera pas que des cours de chant à proprement parlé. Imaginez plutôt des semaines intensives comme on pouvait le voir dans "Star Académy" (beurk, j'ai osé mettre ce nom dans mon blog !), mais sans la télé, la publicité et le côté superficiel :)

J'aime beaucoup l'introduction au plan de formation qu'il m'ont joint dans un courrier au cursus en détails :

La voix résulte d'un équilibre délicat entre le corps, l'esprit, la culture et les émotions.

Pour que le chanteur soit libre dans son corps, il doit apprendre les fonctionnements, postures et comportements qui vont permettre à sa voix de s'épanouir.

La technique vocale pour un chanteur est capitale, car c'est sa garantie sur son avenir professionnel.

Pour devenir un bon chanteur professionnel, il faut conserver et enrichir ses moyens techniques et accepter une bonne hygiène de vie (sommeil, alimentation, exercice physique, training mental, entraînement vocal et musical...).

De la rigueur, naît la liberté !

Sylvie Norton

Je vais vous joindre plusieurs documents afin que vous vous rendiez compte du contenu des cours et des résultantes de ma future année dans cette école (je croise les doigts).

Tout d'abord, voici un tableau avec les cours (cliquez sur chacune des images pour les agrandir) :


Je vous épargnerais le détail de chacun des cours donnés dans chaque rubrique. Je trouve ça déjà pas mal :)
Je terminerai par ce message "perspectives professionnelles" qui rappelle bien le but de tous ces enseignements.

Je n'ai qu'une chose à ajouter : ce cursus est fait pour moi. (Ça vous en bouche un coin, hein ? ^^) Tout ce que j'ai fait jusqu'à présent, je l'ai appris "sur le tas" avec des professionnels ou toute seule : musique, théâtre, mais aussi tout le côté hors scène (contrats, relation public, communication, internet...). Cette école pourrait m'apprendre à vraiment me professionnaliser, approfondir mes savoirs, m'aider à modifier ce que je peux faire mal, et aussi prouver que finalement choisir cette voie n'est pas une folie ^^ . Comme dit dans le message ci-dessus, je crois réellement que pour moi la musique et plus généralement le milieu artistique, est ma vocation.

Sachez qu'au jour d'aujourd'hui j'ai déjà reçu 600 € de dons de la part d'amis, de membres de ma famille. C'est déjà très très bien, même si cela reste loin des 6 720€ à trouver. Les recherches de mon côté continuent et dès que j'ai du nouveau, vous en serez les premiers informés ici.

Les derniers donateurs : merci aux membres du groupe Dagan, François Camoes & Morgane Miltgen, mes grands-parents, Claudine Duschinger, Jean-Pierre Aniorte et Ever More, pour leurs dons ♥

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Si vous souhaitez m'aider,
• vous pouvez m'envoyer un don via paypal à l'adresse mail suivante : reb.noel@gmail.com (cliquez sur le lien ci-dessous)
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Un forum pour les RDV Folks

Ça y est, il est fait ! Bon ok, je l'ai fait sur un coup de tête. Ça m'a pris 6h pour tout mettre en place : esthétique, sujets, organisation du forum. Mais bon, d'un autre côté, je suis sûre qu'il va nous être très utile. Je suis un peu frustrée d'aller aux RDV sans vraiment connaître les morceaux et les danses, du coup ce forum nous permettra de mettre en ligne des partitions, des fichiers audios et vidéos et surtout de partager nos avis et suggestions. Y'a tellement à faire !
Geek et fière de l'être ^^ Mais surtout, passionnée de musique hein !

http://rdvfolksmetz.zikforum.com/

Tout le monde peut s'y inscrire et partager ses idées (c'est même très recommandé !)