Deux amants couchés dans un lit, s'enlaçant, s'embrassant, se promettant un avenir merveilleux, durant une nuit étoilée et paisible devinée par un grand vélux juste au-dessus d'eux. La jeune fille, par ces mots doux, lève les yeux, admirant le spectacle et convaincue que la vie est belle et prometteuse.
Soudain, un spectacle étrange : la lune pleine passe dans le cadre de la fenêtre, d'abord dorée par la réflexion du soleil, puis légèrement rougeâtre sur ses zones d'ombre étranges. Cela ne dure que quelques secondes, peut-être trois. Mais le beau spectacle si énigmatique laisse vite place à la peur : ce qui pourchasse la lune est une météorite de même taille semble-t-il. Pareille à sa proie, elle traverse l'encadrement telle un mirage surréaliste. Quelques secondes passent encore. Les amants sont maintenant paniqués. Il ne faut pas se méfier de ces deux apparitions, mais de la dernière bien plus horrible : cette fois-ci c'est une immense météorite, dix fois plus grosse que ses pareilles, qui, paisiblement et silencieusement, passe devant les yeux des deux témoins qui ne se sont pas lâchés.
Les cœurs battants, ils n'osent y croire. Ne feraient-elles que passer ? Vont-elles les percuter et réduire en poussières leurs rêves futiles ?
Bien évidemment, dehors c'est la panique. On crie déjà à la fin du monde. Mais comment se fait-il que les scientifiques n'aient pas annoncé ce jour J ? On en aurait profité au moins. On aurait fait nos "bêtises" plus tôt, on se serait aimés deux fois, cent fois plus. On aurait été tellement heureux de vivre qu'on n'aurait plus eu peur de mourir.
La montagne du ciel semble grossir de plus en plus. Où se cacher ? Mais serait-ce utile ? A quoi bon survivre après une telle apocalypse ? Alors on continue de s'embrasser en pleurant, en regardant les autres fuir, crier, s'entre-tuer à l'avance. Le monde devient fou. Le temps se dilate et se rétracte. Combien de temps reste-t-il ? Certains hommes ont peut-être déjà pu s'enfuir en catimini à bord de navettes spatiales qui avaient prévu la fin.
Mais qu'importe, la lune est complètement rouge maintenant et il est trop tard...
Soudain, un spectacle étrange : la lune pleine passe dans le cadre de la fenêtre, d'abord dorée par la réflexion du soleil, puis légèrement rougeâtre sur ses zones d'ombre étranges. Cela ne dure que quelques secondes, peut-être trois. Mais le beau spectacle si énigmatique laisse vite place à la peur : ce qui pourchasse la lune est une météorite de même taille semble-t-il. Pareille à sa proie, elle traverse l'encadrement telle un mirage surréaliste. Quelques secondes passent encore. Les amants sont maintenant paniqués. Il ne faut pas se méfier de ces deux apparitions, mais de la dernière bien plus horrible : cette fois-ci c'est une immense météorite, dix fois plus grosse que ses pareilles, qui, paisiblement et silencieusement, passe devant les yeux des deux témoins qui ne se sont pas lâchés.
Les cœurs battants, ils n'osent y croire. Ne feraient-elles que passer ? Vont-elles les percuter et réduire en poussières leurs rêves futiles ?
Bien évidemment, dehors c'est la panique. On crie déjà à la fin du monde. Mais comment se fait-il que les scientifiques n'aient pas annoncé ce jour J ? On en aurait profité au moins. On aurait fait nos "bêtises" plus tôt, on se serait aimés deux fois, cent fois plus. On aurait été tellement heureux de vivre qu'on n'aurait plus eu peur de mourir.
La montagne du ciel semble grossir de plus en plus. Où se cacher ? Mais serait-ce utile ? A quoi bon survivre après une telle apocalypse ? Alors on continue de s'embrasser en pleurant, en regardant les autres fuir, crier, s'entre-tuer à l'avance. Le monde devient fou. Le temps se dilate et se rétracte. Combien de temps reste-t-il ? Certains hommes ont peut-être déjà pu s'enfuir en catimini à bord de navettes spatiales qui avaient prévu la fin.
Mais qu'importe, la lune est complètement rouge maintenant et il est trop tard...
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